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l'affiche rouge
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- Écrit par : Daniel
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en ce jour de "pantheonisation"
Bousquet cofondateur du FN
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En 1986, il déclare"ne pas" considérer son passé SS"comme une erreur de jeunesse", précisant toute fois:"en admettant-je dis bien en admettant- qu'il y ait eu des chambres à gaz et des tortures, je les condamne". Il affirme continuer "pour l'Europe blanche, de Brest à Vladivostok
Energies renouvelables
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- Écrit par : Daniel
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entendu au cours d'une manif.
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- Écrit par : Daniel
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Nous condamnons les actes terroristes perpétrés par le Hamas, il ne s’agissait pas d’un acte de résistance, mais d’un acte de barbarie, que leurs auteurs soient traduits devant la justice. Mais nous condamnons aussi le choix du gouvernement d’extrême droite d’Israël de bombarder aveuglément les civils, et de les soumettre à un blocus responsable d’une catastrophe humanitaire, au nom d’une logique de vengeance qui relève de crimes de guerre. Nous lançons un appel à l’unité de la Nation contre l’antisémitisme et le racisme anti-musulman, et nous exigeons un cessez-le-feu immédiat, la libération immédiate et sans condition de tous les otages détenus par les terroristes du Hamas et celle de tous les détenus palestiniens sans jugement, une initiative diplomatique de la France pour une paix juste et durable et la reconnaissance de l’État de Palestine, aux côtés d’Israël."
un "Honnête Homme"
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- Écrit par : Daniel
- Catégorie : Humeurs
La grande classe, même pour sa sortie.Ceci est le texte de sa page Facebook pour annoncer la fin de sa carrière.
Je me suis souvent demandé si cela avait été le cas lorsque je suis monté sur les skis pour la première fois, il y a 30 ans, dans mes Pyrénées natales. Je crois que j’ai plus simplement suivi cette trace dans la neige dessinée par mon frère Simon, comme beaucoup de petits frères... J’ai été encouragé par ces sensations de glisse et le bonheur d’évoluer dans cet environnement extraordinaire.
Peu à peu, grâce à des rencontres déterminantes et pour assouvir mon goût de la compétition, j’ai commencé à faire ma propre trace. Celle qui m’a façonné en tant qu’athlète mais surtout en tant qu’homme. Celle qui m’a permis de me jauger, de me mesurer, de savoir qui j’étais. De me construire.
De Vancouver à Oslo, face à Ole Einar Björndalen, Emil Svendsen, Anton Shipulin, Simon Schempp, Johannes Boe et tous mes autres adversaires - trop nombreux pour tous les citer -, j’ai réalisé mes rêves et vécu les plus belles émotions. J’ai combattu et j’ai gagné. J’ai souffert, aussi. Je suis tombé et je me suis relevé. Surtout, j’ai grandi. En ayant la chance inouïe de voir grandir mon sport. Des audiences télé extraordinaires
J’aurais pu m’arrêter au lendemain des Jeux Olympiques 2018 auréolé de trois nouvelles médailles d’or mais je devais encore suivre cette trace initiale. Elle m’a bien chahutée l’an passé mais ces turbulences m’ont permis de grandir encore. J’ai dû faire l’expérience de cette notion de résilience jusqu’à engranger, le mois dernier, deux magnifiques titres supplémentaires
Rebondir pour en arriver là, à ces moments de bonheurs partagés, fut le plus grand défi de ma carrière. Je crois que cette dernière mission a été accomplie, quelle que soit l’issue de cette saison.
Ma volonté de donner le meilleur de moi-même et de gravir des montagnes est toujours présente mais la suite de ma construction en tant qu’homme, en tant que père, doit désormais passer par d’autres voies, d’autres supports d’expression.
La passion que je voue à mon sport est intacte. Mon amour pour le sport en général, et les valeurs de dépassement de soi et de respect des autres qu’il transmet, est plus grand que jamais. C’est dans cet univers que je veux continuer à m’exprimer, à m’investir, à partager.
Au moment de vous dire au revoir, je suis si ému mais apaisé. Je me remémore ces lieux, ces visages, ces émotions qui ont jalonné ma carrière. Ces doutes et ces épreuves que j’ai surmontés, ces rêves réalisés. Je laisse une partie de ma vie derrière moi animé par l’élan de tout ce qu’il reste à construire.
Je veux aussi donner plus à ceux qui m’ont tant aidé car, en vingt années consacrées au biathlon, j’ai appris que nos relations constituent une part déterminante de ce que nous sommes. Je voudrais remercier ma famille et en particulier ma femme et mes filles pour leurs sacrifices et leur amour inconditionnel.
Enfin, merci à vous tous, en France, en Russie, en Allemagne, en Norvège, en République Tchéque, en Italie et partout où vous êtes; merci de m’avoir encouragé, supporté, aimé. Vous avez transformé cette carrière individuelle en aventure collective.
Il est temps de vous dire au revoir. Merci pour ce voyage.
Martin.
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